Partout dans le monde
Ecosia soutient plus de 20 programmes de plantation d’arbres dans 16 pays : le Brésil, le Burkina Faso, la Colombie, l’Espagne, l’Éthiopie, le Ghana, Haïti, l’Indonésie, le Kenya, Madagascar, le Maroc, le Nicaragua, l’Ouganda, le Pérou, le Sénégal et la Tanzanie. Nous travaillons avec des partenaires locaux qui suivent la croissance de vos arbres sur le terrain.
Dans les zones critiques de biodiversité
Si vous pouviez planter un milliard d’arbres et deviez décider de l’endroit où ils auraient le meilleur impact sur les populations et la nature, où iriez-vous ?
Notre choix s’est porté sur les zones critiques de biodiversité qui regorgent d’espèces uniques au monde. Ces espaces sont fortement menacés. Ils abritent au moins 1 500 espèces de plantes endémiques et leur surface a été réduite d’au moins 70 %.
La planète compte aujourd’hui officiellement 35 zones critiques de biodiversité. Bien que celles-ci ne représentent que 2,3 % de la surface de la Terre, elles abritent à elles seules plus de la moitié des espèces végétales recensées dans le monde et près de 43 % des espèces d’oiseaux, de mammifères, de reptiles et d’amphibiens que l’on ne trouve nulle part ailleurs sur la planète.
Là où les populations en ont besoin
Les arbres sont extrêmement utiles et représentent une valeur ajoutée pour les agriculteurs et les communautés locales. Ils permettent de prévenir l’érosion, de créer un microclimat stable pour diversifier les cultures, de restaurer le cycle de l’eau et de générer des revenus.
Cependant, dans les régions agricoles les plus pauvres de notre planète, les communautés et les agriculteurs n’ont pas les moyens de s’engager dans la plantation d’arbres et la restauration de l’environnement à plus grande échelle. Il est difficile d’obtenir des financements privés car aucun retour sur investissement ne peut être espéré avant trois ans. Les financements publics s’accompagnent quant à eux d’importantes contraintes administratives.
En plantant des arbres dans ces régions, nous créons des emplois pour les communautés locales et offrons aux agriculteurs des perspectives plus intéressantes que celle de vendre leurs terres au profit d’une production en monoculture.
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